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Tifet, sculptrice qui redonne la vie

Autodidacte, j'ai commencé la sculpture comme une une évidence, après 25 années de peinture, patines, trompe l’œil, peinture sur bois.

L'être humain reste mon sujet préféré. Je travaille sur des coups de coeur et tout être doué d'expression m'inspire.

J'ai été surnommé la "sankh" en égyptien, "sculpteur qui redonne la vie", par mes amis égyptiens, pour mon travail sur les portraits. L'Egypte est mon pays de coeur et j'aime par mon travail retrouver l'âme des artisans d'autrefois pour façonner dans l'argile leur histoire. J'ai, par le passé, réalisé quelques pièces égyptiennes et je peux sur commande, réaliser ce genre de travail.

Mon but est de donner la vie à mon travail en permettant un échange avec les gens, qui passe bien souvent par un regard, rechercher l'intensité, l'émotion, provoquer des sentiments. Il faut que le sujet que j'ai choisi de faire me parle, me touche, avant tout chose, au-delà de l'esthétisme, des modes et conventions.


J'ai été étudiante de Martine VAUGEL, sculpteure internationale,  pendant plusieurs années. 

Tifet.

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